Joëlle Pontseel

C’est à l’Ecole supérieure des Arts plastiques et visuels de Mons que je me suis formée, principalement dans l’atelier images imprimées dirigé par Gabriel Belgeonne. J’en sors en 1986 avec une distinction.

L’Académie de Mons, c’est là que je teste différentes techniques d’impressions (métal, lithographie, sérigraphie, etc.), mais le véritable tournant dans ma formation est la découverte de la linogravure parce qu’elle me permet de rester au plus proche de mes dessins et de mon imaginaire.

1986, diplôme en poche, je rejoins Totem, un groupe de graphistes qui travaillent essentiellement pour la publicité, l’édition et la mode. Mon travail se retrouve ainsi notamment dans les pages du Soir, de Marie-Claire France, de Gaël, de 20 ans,… et dans des campagnes publicitaires promues par TBWA, Young & Rubicam,…

Une influence c’est ce qui reste au-delà d’un coup de coeur artistique. Ce qui reste et qui guide encore mon travail, c’est l’art brut, Franz Masereel, Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, David Hockney, et tout ce que ma mémoire enregistre sans que j’en ai toujours le souvenir.

Un voyage à Florence donne une nouvelle direction à mon travail. C’est là que je découvre des artisans, qui ont pignon sur rue et qui proposent de splendides vitrines, des ateliers ouverts, qui proposent des rencontres et des collaborations à tout qui est intéressé. L’envie d’ouvrir un lieu similaire à Bruxelles nait. Etre davantage proche des gens, voilà ce qui motive désormais mon travail.

Petit à petit l’idée de devenir une imagière publique se précise. Comme l’écrivain public propose son savoir-faire à qui a envie de faire des mots, des phrases et de les embellir, je suis celle qui aide et collabore avec qui a envie de mettre des images sur des émotions, des événements.

En 2006, j’ouvre l’atelier Jopo au 94 de la rue Stanley, à Uccle, dans le quartier de la Bascule. J’y installe une presse à l’ancienne, des kilos de linoleum à tailler et je me mets au travail.

Pendant huit ans, je crée, je dessine, je grave, j’imprime, je peins, j’illustre, … des portraits, des illustrations, de la vaisselle, des faire-parts de naissance, de mariage, des scènes du quotidien de celui-ci, un moment partagé avec celle-là. Je me mets au service de qui souhaite offrir un instantané gravé qui passe de sa mémoire à la feuille imprimée.

En 2014, je déménage l’atelier de quelques centaines de mètres et je m’installe au 417 de la rue Vanderkindere. C’est un espace plus grand dans un endroit plus fréquenté, toujours cette idée de rencontrer les gens. Le concept de l’atelier artisanal demeure le fondement de mon activité, mais le lieu devient un espace de créations, qui accueille une boutique, des cimaises pour exposition, divers ateliers.

L’atelier Jopo reste un lieu où l’on vient acheter ou commander des images, mais il est désormais aussi un lieu où d’autres créent ou montrent ce qu’ils ont créé. Un atelier de reliure. Un atelier d’écriture. Des expositions. Et d’autres choses qui prendront place avec le temps.

Le site atelierjopo propose une autre vitrine sur mon travail et les activités de l’atelier JoPo. Les informations, les descriptions et les prix sont accessibles; mais vous pouvez bien évidemment me contacter pour toute information complémentaire.

C’est à l’Ecole supérieure des Arts plastiques et visuels de Mons que je me suis formée, principalement dans l’atelier images imprimées dirigé par Gabriel Belgeonne. J’en sors en 1986 avec une distinction.

L’Académie de Mons, c’est là que je teste différentes techniques d’impressions (métal, lithographie, sérigraphie, etc.), mais le véritable tournant dans ma formation est la découverte de la linogravure parce qu’elle me permet de rester au plus proche de mes dessins et de mon imaginaire.

1986, diplôme en poche, je rejoins Totem, un groupe de graphistes qui travaillent essentiellement pour la publicité, l’édition et la mode. Mon travail se retrouve ainsi notamment dans les pages du Soir, de Marie-Claire France, de Gaël, de 20 ans,… et dans des campagnes publicitaires promues par TBWA, Young & Rubicam,…

Une influence c’est ce qui reste au-delà d’un coup de coeur artistique. Ce qui reste et qui guide encore mon travail, c’est l’art brut, Franz Masereel, Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, David Hockney, et tout ce que ma mémoire enregistre sans que j’en ai toujours le souvenir.

Un voyage à Florence donne une nouvelle direction à mon travail. C’est là que je découvre des artisans, qui ont pignon sur rue et qui proposent de splendides vitrines, des ateliers ouverts, qui proposent des rencontres et des collaborations à tout qui est intéressé. L’envie d’ouvrir un lieu similaire à Bruxelles nait. Etre davantage proche des gens, voilà ce qui motive désormais mon travail.

Petit à petit l’idée de devenir une imagière publique se précise. Comme l’écrivain public propose son savoir-faire à qui a envie de faire des mots, des phrases et de les embellir, je suis celle qui aide et collabore avec qui a envie de mettre des images sur des émotions, des événements.

En 2006, j’ouvre l’atelier Jopo au 94 de la rue Stanley, à Uccle, dans le quartier de la Bascule. J’y installe une presse à l’ancienne, des kilos de linoleum à tailler et je me mets au travail.

Pendant huit ans, je crée, je dessine, je grave, j’imprime, je peins, j’illustre, … des portraits, des illustrations, de la vaisselle, des faire-parts de naissance, de mariage, des scènes du quotidien de celui-ci, un moment partagé avec celle-là. Je me mets au service de qui souhaite offrir un instantané gravé qui passe de sa mémoire à la feuille imprimée.

En 2014, je déménage l’atelier de quelques centaines de mètres et je m’installe au 417 de la rue Vanderkindere. C’est un espace plus grand dans un endroit plus fréquenté, toujours cette idée de rencontrer les gens. Le concept de l’atelier artisanal demeure le fondement de mon activité, mais le lieu devient un espace de créations, qui accueille une boutique, des cimaises pour exposition, divers ateliers.

L’atelier Jopo reste un lieu où l’on vient acheter ou commander des images, mais il est désormais aussi un lieu où d’autres créent ou montrent ce qu’ils ont créé. Un atelier de reliure. Un atelier d’écriture. Des expositions. Et d’autres choses qui prendront place avec le temps.

Le site atelierjopo propose une autre vitrine sur mon travail et les activités de l’atelier JoPo. Les informations, les descriptions et les prix sont accessibles; mais vous pouvez bien évidemment me contacter pour toute information complémentaire.